Une jeune fille comme les autres

Titre: Une jeune fille comme les autres

Série: Aucune

Auteur: Kerry Blake (Lealy sur msn)

Genre: Science fiction

Résumé: C'est l'histoire d'une jeune fille comme les autres qui devient malgré elle le differente. (Résumé nulle mais lisez la suites c'est mieux ^^)

Note de l'auteur: (au cas ou) Cette Fanfiction n'est sur aucune série. Toute resemble serait totalement le fruit du hazard.


Mauvaise journée

Lundi 8h 00

Le réveille avait du sonné mais elle ne l’avait pas entendue comme d’habitude elle serait en retard. Elle passait souvent des heures sur Internet au grand désarroi de ces parents. Ils ne comprenaient pas ce qu’elle faisait sur cet ordinateur ou elle passait des heures. Ca mère croyait qu’elle faisait cela pour éviter de faire ces corvées. Et son père disait que c’était un truc de jeune. Mais elle avait beau leurs expliquer qu’elle discutait avec des amis et regardait les sites sur les animaux et l’astronomie la science fiction, ils ne semblaient rien entendre.

Amélia avait 19 ans elle sortait très rarement et avait peu d’amis. Contrairement à sa sœur Becky qui était la fille la plus populaire de la faculté. Tous les garçons lui tournaient autour les filles l’admiraient et la détestaient en même temps. Quant à leur grand frère Emilien, Amélia le trouvait cool bien qu’il change de copine à une vitesse éblouissante. D’ailleurs elle ne se gênait pas pour donner son avis sur ces petites amies même s’il l’envoyait balader.

Elle se réveilla en sursaut lorsque ça mère ouvrit brutalement la porte de sa chambre et hurla :

« Tu pense passer ta journée au lit ou aller à l’école ? ! Debout aller ! »

Jaqueline la mère de Amélia ouvrit en grand les rideaux et la lumière du jour s’infiltra dans la chambre. Elle secoua légèrement Amélia qui s’était rendormie. Dans ça hâte de se lever Amélia se prit les pieds, dans sa couverture qui traînait par terre et tomba. Ca sœur qui passait par-là la vit par la porte ouverte et rit ouvertement. Ca mère sortit de la chambre la laissant seul avec son amour propre légèrement égratigné.

«Encore une journée qui commence bien ! » Pensa-t-elle.

Elle se leva ramassa un pantalon large qui était roulé en boule dans son armoire. Amélia ne suivait pas la mode elle était toujours habillée de la même façon : pantalon large T-shirt ou pull. C’était son uniforme personne ne l’avait jamais vue habillé autrement. Elle se lava et s’habilla rapidement et prit son sac. Amélia entra en coup de vent dans la cuisine. Elle but un verre de lait et prit un sandwich qui était sur la table. Elle n’était pas encore dehors qu’elle entendit hurler :

« C’était MON sandwich… végétarien ! »

« Tiens Becky est végétarienne aujourd’hui ? » Dit-elle en parlant toute seule.

Elle marcha rapidement en direction de l’école. En recherchant son baladeur dans son sac elle se rendit compte qu’elle n’avait pas changé ces affaires. Elle avait donc tout le matériel qu’il lui fallait mais… pour le vendredi.

« Quand une journée commence comme ça c’est foutu ! La barbe ! » Pesta-elle tout en continuant à marcher.

C'est ma première fic' j'espère que ça vous plaira.

Titre: Une jeune fille comme les autres

Série: Aucune


Auteur: Kerry Blake (Lealy sur msn)

Genre : Science fiction

Résumé: C'est l'histoire d'une jeune fille comme les autres qui devient malgré elle le differente. (Résumé nulle mais lisez la suites c'est mieux ^^)

Note de l'auteur: (au cas ou) Cette Fanfiction n'est sur aucune série. Toute resemble serait totalement le fruit du hazard.


Elle arriva en retard en cours comme d’habitude. Amélia entra le plus doucement possible dans la salle de classe. Elle s’assit à la première place qu’elle trouva. Derrière elle se trouvait Warren, un jeune homme d’une stupidité peut commune. Jamais à cours de blague et de farce il terrorisait les autres. Personne ne lui disait rien car son mètre quatre-vingt-dix dissuadait même les plus courageux. Et il n’aimait rien tant que la bagarre. Alors qu’elle prenait place une odeur d’œuf pourrit et un bruit des plus gênant retenir dans la pièce. Tous les visages se tournèrent alors vers elle. Amélia fut figé par la honte lorsque les rires retentirent dans la salle.

Elle comprit que Warren avait décidé qu’aujourd’hui elle serait ça victime. Mais Amélia excédé par les moqueries et autres humiliations quotidiennes en eu assez. Tous à coup une rage brûlante monta en elle. Cela ne lui était pas coutumier car elle était plutôt calme. Elle se retourna administra une claque magistrale à Warren. Un silence tendu emplit la salle de classe. Chacun attendait une réaction de part et d’autres. Certains chuchotaient commençant déjà à prendre des paries. La réaction du jeune homme ne se fit pas attendre. Il attrapa Amélie par les épaules et la secoua comme un pantalon froissé. Ces dents s’entrechoquèrent sous la force que la secousse. Elle commença à hurler.

« Lâche-moi espèce de malade ! Lâche-moi tout de suite tu es malade ou quoi ? » hurla t elle

Elle tentait tant bien que mal d’échapper, à la poigne de fer qui l’enserrait. Mais elle eut beau se tordre dans tous les sens rien ni fit. Avant qu’elle ait put comprendre ce qui lui arrivait Warren lui mit un coup de poing. Un craquement lugubre se fit entendre. C’était le nez d’Amélia qui se cassait sous le choc. La douleur fut si grande qu’elle tomba évanouie sur le sol glacé.

Autour d’elle tout le monde s’agitait. Plusieurs élèves avaient maîtrisés Warren, qui hurlait :

« Je n’ai pas fait exprès Monsieur ! »

Le professeur complètement affolé avait perdu son sang froid depuis longtemps. Ce fut une jeune fille assise toute seule qui prit les choses en main. C’était Léa une grande fille avec les cheveux teint en violet. Elle était constamment habillée en noir et maquillée de la même couleur. Elle avait une épée enflammé tatoué au creux des reins et une rose sur l’épaule.

Léa se leva attrapa une jeune fille hystérique par le col, lui mit deux petites tapes sur les joues et lui dit :

« Toi tu vas tout de suite appelez un responsable, raconte lui et appel les secours. Dépêche-toi ! »

La jeune fille hystérique ramenée sur terre avec autant de fermeté courue faire ce qui lui était demandé. Elle revint quelques minutes plus tard. Le proviseur la suivait et il était rouge de colère. Monsieur Démond (que tout le monde appelait en cachette Monsieur Démon) était craint par tout le personnel de la faculté et des élèves. Lorsqu’il arrivait quelque par le silence se faisait instantanément. Il était grand massif battit d’un bloc.

Quand Monsieur Démond parlait c’était d’une voie naturellement forte. Il se dirigea vers le malheureux professeur, qui était dans tous ces états.

Le professeur : « Monsieur je vous assure !… »

Le proviseur Monsieur Démond : « Taisez-vous ! Vous n’êtes qu’un incapable ! Je m’occuperais de votre cas plus tard ! Que tout les élèves reviennent à leurs places ! »

Le professeur : « Monsieur je pense que… »

Le proviseur : « Surtout ne vous donnez pas cette peine ça risque de vous donnez mal au crâne ! Et je vous ai dit de vous taire ! Suivez moi vous allez vous rendre utile pour une fois. »

Il se dirigèrent vers Amélia toujours inconsciente sur le sol. Léa ce tenait près d’elle c’était la seule qui avait osé désobéir aux ordres du proviseur. Elle leva a peine la tête lorsque le proviseur et le professeur arrivèrent près d’elle.

« Que faites-vous là ? » Demanda abruptement le proviseur.

Les secours déboulèrent dans la salle à cette instant même, empêchant Léa de répondre. Elle s’écarta d’Amélia pour laisser les secours travailler. Amélia s’agita un peu à cause de la douleur. Un des secouristes demanda dans quelle circonstance Amélia avait été blessé. Cela déclencha un brouhaha que le proviseur fit cesser en battant des mains. Le professeur trop confus pour répondre se fut Léa qui fut chargé d’expliquer la situation.

« L’abruti ici présent à fait une blague idiote à Amélia. Elle l’a mal prit et lui mit une belle gifle. Il l’a secoué et lui a mit un coup de point. » Déclara t elle simplement.

« Tu vas voir si je suis un abruti. » Pesta Warren.

Léa se prépara à répondre lorsque le proviseur se planta devant Warren. Il était immense, si impressionnant que même les secouristes se turent.

« Warren Je vous prie de ne pas vous faire remarquer pour le moment. Vous irez dans mon bureau et nous prendrons les mesures nécessaires. Si je vous entends couiner ça risque de barder sérieusement ! »

Puis il se tourna vers Léa et la montra du doigt lui faisant signe d’approcher.

« Je sais que la sœur d’Amélia n’est pas venue en cours aujourd’hui vous irez donc à l’hôpital avec eux. Je préviendrais ces parents et les préviendrais de ce qui ait advenue. Jeunes gens vos cours sont terminés pour aujourd’hui »

Personne ne bougea tous regardaient les secouristes emmener Amélia. Léa suivait docilement ce qui lui était rare. Tous les élèves qui quittèrent la salle en silence. Seul le proviseur, Warren et le professeur demeurèrent dans la salle.

« Quand une journée commence comme ça c’est foutu ! » Murmura le professeur.

C’est la chose la plus intelligente que vous aillez dites. » Déclara le proviseur.

Effectivement pour Amélia la journée d’école était terminée, foutue.

II.Le voyageur, la guide, la combattante

Amélia était allongée sur sont pale lit d’hôpital. Son corps était parcourue de léger soubresauts. Elle était en sueurs, tournant la tête de tout coté. Le rêve qu’elle faisait était perturbant. Tous était noire d’encre, lorsque Eugénia la vieille dame qui tenait l’épicerie apparue. Elle avait les cheveux blanc comme de la neige doux comme du coton. Tout le monde la respectait et l’appelait Madame. Seul le père d’ Amélia se permettait de l’appeler Eugénia. Une étrange complicité les unissaient. Jacqueline la mère d’Amélia détestait cordialement Madame Eugénia ! Qui le lui rendait bien d’ailleurs, entres elles se n’était que pique à volonté.

« Pourquoi je rêve de Madame Eugénia ? » pensa t elle

« Est ce vraiment un rêve ? » lui répondit une voie douce et simple.

« Bien sure quoi d’autres ? » dit elle questionna t elle

« Le temps est venue Amélia ou tu devra faire face à ton destin ! Ta mission de gardienne débutera bientôt. La combattante sera tes cotés, le voyageur viendra le moment venue. »

« Qu’est ce que ça veut dire ! Répondez moi ! »hurla t elle

Mais ça question se répéta à l’infini dans ça tête. Ce la fit ce réveiller avec un mal de tête énorme. Et des bandages pour maintenir son nez. Elle tenta de se redresser mais retomba lourdement sur l’oreiller.

« Bienvenue permît nous la momie ! » Annonça la voie bêcheuse de becky

« Becky ! »Dit simplement son père sur un ton sans réplique.

« voyons tu vois bien que ce n’est pas le moment de faire des plaisanteries » Dit ça mère en minaudant

Personne ne releva la remarque de Jacqueline comme d’habitude. Son fils qui était présent ne faisait guère attention à elle. Sauf pour son argent de poche et pour les ragots. Ca mère était une mine inépuisable de ragot en tout genre. Elle savait toujours tout sur tout le monde. C’était la femme la plus mondaine qu’ il n’est jamais vue. Il l’aimait beaucoup mais ne la comprenait pas toujours. Pour Amélia c’était pareil sauf qu’elle ne la comprenait pas du tout. Le médecin arriva sur ces entre fait et fit sortir tout le monde.

« Alors Mademoiselle Comment vous sentez vous aujourd’hui ? » dit le médecin

« C’est un camion qui m’est passé sur le visage ? » Dit elle ironiquement.

« Si vous faites de l’humour c’est que vous vous portez comme un charme ! »

« Bien c’est vrai mon charme n’est pas terrible alors ! Mais ça c’est pas nouveau. »

Le médecin émit un petit rire de circonstance et parti .Il avait hâte de retrouver ces collègues à l’humour plus joyeux. Tous la famille d’Amélia entra de nouveau mais cette fois pour lui dire au revoir. Le silence emplit la chambre. Elle était seule avec ça douleur lorsque la voie de l’étrange Léa retentie. Elle était venue lui rendre visite.

« Salut ! Ils t’ont bien arrangé !Tu ressemble à une momie !!»

« Merci Léa je peux compter sur toi pour me remonter le morale ! » dit elle ironiquement.

« Quoi j’était pas censé dire ça ? Ce n’est que la vérité » dit elle précipitamment.

Avant qu’Amélia est put répliqué le docteur qui était passé il y a cinq minutes réapparue. Il avait quelque chose de différent. Elle s’en rendit compte tout de suite c’était lui mais pas tout à fait. L’aire était plus lourd tout à coup, une aura gris claire se dégageait de l’homme

« Qui êtes vous ? Vous n’êtes pas le médecin qui viens passé ! » dit elle avec hargne

« Qu’est ce qui ce passe Amélia ? » Demanda Léa en ce positionnant devant son amie.

« A lui de nous le dire » dit t elle avec ironie

« Alors c’est vrai le temps est venue ! Le maître avait raison » dit il mystérieusement

Il disparue dans une brume gris claire. Une mauvaise odeur avait emplie la pièce. Amélia ce sentait mal. Une force étrange l’avait envahit dès que l’homme était arrivé. Elle avait sut tout de suite ce qu’il était. Et Léa n’était pas en reste, serrant les poings prête à livrer bataille. Elle ne remplit plus à la simple étudiante qu’elle était. Mais à une combattante courageuse prête à tous les sacrifices. Amélia ne comprenait pas ce qui ce passait. Tous semblait étrange comme si un film de science fiction c’était croisé avec la réalité. Pourtant elle n’avait pas rêvé, l’homme avait bien disparue sous leur yeux.

« C’était quoi ça ? Il était aussi docteur que moi celui la ! » argua t elle

« Je ne sais pas qui il était, mais il était pas de chez nous ! »

Comme si cela ne suffisait pas un jeune homme se matérialisa devant la porte. Il était grand brun, vêtu d’un jogging et d’un manteau beige. Ces cheveux bouclés retombaient souplement sur ça nuque. C’était Albert le neveux de Madame Eugénia, d’habitude il ne la quittait pas. Il était aveugle de naissance, mais il était autonome. Amélia ne le connaissait que de vue. Elle était choquée de le voir apparaître aussi bizarrement.

« Ou suis je ? » demanda t il ingénument.

« Depuis quand fait tu ce genre de truc Albert ? »

« Il est comme l’autre ? » Demanda Léa

« Non, il comme nous c’est le voyageur. » dit elle

« Ah vous avez rencontrez un Yrongt ! » chuchota t il avec crainte.

« Un quoi ? » demandèrent t elles en cœur
« Je vous expliquerait une autre fois. S’ils sont la nous devons y aller ! »

« Le voyageur, la combattante, mais qui est le guide ? » chuchota t elle.

Léa aida Amélia a se lever et à s’habiller. L’infirmière qui arriva à se moment la fut accueillit fraîchement. Les jeunes gens étaient encore sous le coup de la peur. Amélia signa le bon de sortie, emporta ces affaires. Personne ne demanda à Amélia Ce quel chuchotait. Tous présumaient que c’était la peur qui lui faisait cette effet. Les trois jeunes gens traversaient le couloir se tenant la main. Ils en avait besoin cela les réconfortaient. Ils ne parlèrent pas, marchant cote à cote. Il ne virent pas les deux personnes entouré d’une aura gris claire qui les regardait.

« L’ancien royaume se réveille maître ! » dit le premier

« Les gardiens des sept flammes aussi. Le combat sera rude, mais nous réinstallerons notre ordre ! » dit le plus imposant des deux.

II.Le voyageur, la guide, la combattante

Amélia était allongée sur sont pale lit d’hôpital. Son corps était parcourue de léger soubresauts. Elle était en sueurs, tournant la tête de tout coté. Le rêve qu’elle faisait était perturbant. Tous était noire d’encre, lorsque Eugénia la vieille dame qui tenait l’épicerie apparue. Elle avait les cheveux blanc comme de la neige doux comme du coton. Tout le monde la respectait et l’appelait Madame. Seul le père d’ Amélia se permettait de l’appeler Eugénia. Une étrange complicité les unissaient. Jacqueline la mère d’Amélia détestait cordialement Madame Eugénia ! Qui le lui rendait bien d’ailleurs, entres elles se n’était que pique à volonté.

« Pourquoi je rêve de Madame Eugénia ? » pensa t elle

« Est ce vraiment un rêve ? » lui répondit une voie douce et simple.

« Bien sure quoi d’autres ? » dit elle questionna t elle

« Le temps est venue Amélia ou tu devra faire face à ton destin ! Ta mission de gardienne débutera bientôt. La combattante sera tes cotés, le voyageur viendra le moment venue. »

« Qu’est ce que ça veut dire ! Répondez moi ! »hurla t elle

Mais ça question se répéta à l’infini dans ça tête. Ce la fit ce réveiller avec un mal de tête énorme. Et des bandages pour maintenir son nez. Elle tenta de se redresser mais retomba lourdement sur l’oreiller.

« Bienvenue permît nous la momie ! » Annonça la voie bêcheuse de becky

« Becky ! »Dit simplement son père sur un ton sans réplique.

« voyons tu vois bien que ce n’est pas le moment de faire des plaisanteries » Dit ça mère en minaudant

Personne ne releva la remarque de Jacqueline comme d’habitude. Son fils qui était présent ne faisait guère attention à elle. Sauf pour son argent de poche et pour les ragots. Ca mère était une mine inépuisable de ragot en tout genre. Elle savait toujours tout sur tout le monde. C’était la femme la plus mondaine qu’ il n’est jamais vue. Il l’aimait beaucoup mais ne la comprenait pas toujours. Pour Amélia c’était pareil sauf qu’elle ne la comprenait pas du tout. Le médecin arriva sur ces entre fait et fit sortir tout le monde.

« Alors Mademoiselle Comment vous sentez vous aujourd’hui ? » dit le médecin

« C’est un camion qui m’est passé sur le visage ? » Dit elle ironiquement.

« Si vous faites de l’humour c’est que vous vous portez comme un charme ! »

« Bien c’est vrai mon charme n’est pas terrible alors ! Mais ça c’est pas nouveau. »

Le médecin émit un petit rire de circonstance et parti .Il avait hâte de retrouver ces collègues à l’humour plus joyeux. Tous la famille d’Amélia entra de nouveau mais cette fois pour lui dire au revoir. Le silence emplit la chambre. Elle était seule avec ça douleur lorsque la voie de l’étrange Léa retentie. Elle était venue lui rendre visite.

« Salut ! Ils t’ont bien arrangé !Tu ressemble à une momie !!»

« Merci Léa je peux compter sur toi pour me remonter le morale ! » dit elle ironiquement.

« Quoi j’était pas censé dire ça ? Ce n’est que la vérité » dit elle précipitamment.

Avant qu’Amélia est put répliqué le docteur qui était passé il y a cinq minutes réapparue. Il avait quelque chose de différent. Elle s’en rendit compte tout de suite c’était lui mais pas tout à fait. L’aire était plus lourd tout à coup, une aura gris claire se dégageait de l’homme

« Qui êtes vous ? Vous n’êtes pas le médecin qui viens passé ! » dit elle avec hargne

« Qu’est ce qui ce passe Amélia ? » Demanda Léa en ce positionnant devant son amie.

« A lui de nous le dire » dit t elle avec ironie

« Alors c’est vrai le temps est venue ! Le maître avait raison » dit il mystérieusement

Il disparue dans une brume gris claire. Une mauvaise odeur avait emplie la pièce. Amélia ce sentait mal. Une force étrange l’avait envahit dès que l’homme était arrivé. Elle avait sut tout de suite ce qu’il était. Et Léa n’était pas en reste, serrant les poings prête à livrer bataille. Elle ne remplit plus à la simple étudiante qu’elle était. Mais à une combattante courageuse prête à tous les sacrifices. Amélia ne comprenait pas ce qui ce passait. Tous semblait étrange comme si un film de science fiction c’était croisé avec la réalité. Pourtant elle n’avait pas rêvé, l’homme avait bien disparue sous leur yeux.

« C’était quoi ça ? Il était aussi docteur que moi celui la ! » argua t elle

« Je ne sais pas qui il était, mais il était pas de chez nous ! »

Comme si cela ne suffisait pas un jeune homme se matérialisa devant la porte. Il était grand brun, vêtu d’un jogging et d’un manteau beige. Ces cheveux bouclés retombaient souplement sur ça nuque. C’était Albert le neveux de Madame Eugénia, d’habitude il ne la quittait pas. Il était aveugle de naissance, mais il était autonome. Amélia ne le connaissait que de vue. Elle était choquée de le voir apparaître aussi bizarrement.

« Ou suis je ? » demanda t il ingénument.

« Depuis quand fait tu ce genre de truc Albert ? »

« Il est comme l’autre ? » Demanda Léa

« Non, il comme nous c’est le voyageur. » dit elle

« Ah vous avez rencontrez un Yrongt ! » chuchota t il avec crainte.

« Un quoi ? » demandèrent t elles en cœur
« Je vous expliquerait une autre fois. S’ils sont la nous devons y aller ! »

« Le voyageur, la combattante, mais qui est le guide ? » chuchota t elle.

Léa aida Amélia a se lever et à s’habiller. L’infirmière qui arriva à se moment la fut accueillit fraîchement. Les jeunes gens étaient encore sous le coup de la peur. Amélia signa le bon de sortie, emporta ces affaires. Personne ne demanda à Amélia Ce quel chuchotait. Tous présumaient que c’était la peur qui lui faisait cette effet. Les trois jeunes gens traversaient le couloir se tenant la main. Ils en avait besoin cela les réconfortaient. Ils ne parlèrent pas, marchant cote à cote. Il ne virent pas les deux personnes entouré d’une aura gris claire qui les regardait.

« L’ancien royaume se réveille maître ! » dit le premier

« Les gardiens des sept flammes aussi. Le combat sera rude, mais nous réinstallerons notre ordre ! » dit le plus imposant des deux.